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Le mythe d'Orphée
Le mythe d' Orphée
On devrait dire plutôt, les mythes qui entourent la légende d'Orphée.
Pouvons- nous privilégier la légende amoureuse d'Orphée et Eurydice, ses pouvoirs sur la nature grâce à son chant, son initiation dans le royaume des morts, ou bien sont retour chez les mortels et sa condamnation par les Ménades ?
Orphée dans les Géorgiques de Virgile
VIRGILE
(70- 19 av. JC)
Georgiques
Livre IV: les abeilles
Orphée dans les Métamorphoses d'Ovide
Ovide
(43 av JC- 17~)
Métamorphoses
chant X Orphée
ARGUMENT. Orphée descend aux Enfers. Eurydice lui est rendue et reprise par le dieu des morts. Métamorphoses d'Atys, en pin; de Cyparissus, en cyprès; d'Hyacinthe, en fleur; des Cérastes, en taureaux; des Propétides, en rochers. La statue de Pygmalion animée. Atalante et Hippomène changés en lions; Adonis, en anémone; Mentha, en menthe.
Le poème d'Ougarit
Les textes de Ras-Shamra ( l'antique Ougarit, ou Ugarit )
A propos du poème découvert au cours des fouilles de 1929:....
Tristan et Iseut
Les chefs-d'œuvre de Michel-Ange
Botticelli, le printemps
Marc Chagall
Mariée à l'éventail
Naissance le 7 Juillet 1887 à Vitebsk en Russie ,mort le 28 mars 1985 à Saint Paul de Vence
Cézanne
Paul Cézanne
( 1839 -1906 )
Du romantisme à la Sainte Victoire .
Tableau de présentation : Cézanne : dans le parc du Château Noir (1900)
Jean Baptiste Camille Corot
Heine
Christian Johann Heinrich Heine ou Henri Heine,
1797-1856
Du recueil : les rythmes souverains (1910)
le paradis
Rimbaud
Arthur Rimbaud
(1854-1891)
Ophélie
Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles
La blanche Ophélia flotte comme un grand lys,
Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles...
-- On entend dans les bois lointains des hallalis.
Cantiques des colonnes
CANTIQUE DES COLONNES
à Léon-Paul Fargue.
Douces colonnes, aux
Chapeaux garnis de jour,
Ornés de vrais oiseaux
Qui marchent sur le tour,
Fragments du Narcisse
Fragments du NARCISSE
Te voici, mon doux corps de lune et de rosée,
O forme obéissante à mes voeux opposée !
Qu'ils sont beaux, de mes bras les dons vastes et vains !
Mes lentes mains, dans l'or adorable se lassent
D'appeler ce captif que les feuilles enlacent ;
Mon coeur jette aux échos l'éclat des noms divins !....
Mais que ta bouche est belle en ce muet blasphème !
La jeune Parque
La jeune Parque
(extraits)
Qui pleure là , sinon le vent simple, à cette heure
Seule avec diamants extrèmes ?...mais qui pleure ,
Si proche de moi-même au moment de pleurer ?
Cette main, sur mes traits qu'elle rêve d'effleurer,
Distraitement docile à quelque fin profonde,
Attend de ma faiblesse une larme qui fonde,
Cimetière marin
Cimetière marin
Ce toit tranquille, où marchent des colombes
Entre les pins palpite, entre les tombes;
Midi le juste y compose de feux
La mer, la mer toujours recommencée !
O récompense après une pensée
Qu'un long regard sur le calme des dieux !
Poèmes de Gabriel
Poèmes de Gabriel
Quelques poèmes
Bien que possédant chacun une cohérence propre, l'ensemble de ces sonnets, rédigés au cours de l'été 2006, forme néanmoins un tout dans mon esprit.